RECRUTEMENT D’UN BUREAU D’ETUDE POUR LA REALISATION DES ETUDES TECHNIQUES SUR LES OUVRAGES D’ART DE L’AXE ROUTIER NGONZI RIVE-NGONZI TERRE-BOSO MAYELA /TERRITOIRE DE BONGANDANGA DANS LA PROVINCE DE LA MONGALA

New clarification added: Questions #1Saluations. Nous vous remercions pour les réponses apportées à nos premières questions. La plupart ont amélioré notre compréhension du projet. Cependant quelques zones d'ombres persistent.Concernant les cotes hydrologiques à présenter dans les plans topo, le doute persiste. Nous vous serions donc gré de rendre disponible un modèle de ce genre de présentation. Merci d'avance.Réponses #1 UNOPS : Par éthique et déontologie, nous ne serions pas  transmettre un rapport établit par un autre BE pour ce genre de cosultance.Nous vous envoyons un esquisse qui reprend la prestation extraite d’un rapport topo et  exigée par le reviseur. Questions #2: Dans l'une de vos réponses vous dites "Cette recommandation ne concerne que les ponts à grande portée qui ne sont pas repris pour ce TdR ; pour les petits ponts repris dans le TdR l’examen est à faire conformément à la recommandation reprise dans la question. Sur cet axe nous n’avons pas des ponts à grandes portées. La préoccupation du consultant est sans objet."Réponses #2 de l'UNOPS : Nous n’avons effectivement des ponts à grande portée à construire sur cet axe routier, le seul pont à grande portée existant est à réhabiliter d’où  la recommandation exigée reste valable pour ce pont existant à réhabiliter. Nos premières remarques sur les éventuelles activités relevant de cette réhabilitation sont bien claires dans l’observation du TdRQuestion #3 : A la page 5 des TDR, nous lisons pourtant "pont à grande portée", territoire Bongandanga. Il s'agit, à en coire les TDR, d'un "pont métallique bailey de 20 ml de portée". Notre préoccupation ne saurait donc être "sans objet" puisqu'il s'agit bel et bien d'un pont à "grande portée" selon la définition de UNOPS dans l'esprit des TDR. Nous réiterons donc nos préoccupations à savoir:1. Qu'entendez vous par "examen hydrologique"? sachant que la mission est supposée se dérouler en 60 jours, durée pendant laquelle on ne peut pas, à notre avis, observer toutes les variations des niveaux des eaux puisque ces variations dépendent des saisons climatiques. Pouvez vous expliciter l'expression "examen hydrologique". En quoi consite cet examen?Réponses #3 de l'UNOPS : Nous confirmons qu’il y a moyen d’obtenir les informations sur la variation des niveaux des eaux sans une longue observations dans le temps ; plusieurs études ont été menées et réalisées  sur base des  informations précieuses obtenues visuellement sur les sites et aussi sur base des informations recueillies auprès des populations riveraines ou toutes autres moyens que le consultant peut avoir. Les données sur la pluviométrie peuvent être obtenues auprès de l’INERA et des services étatiques ( les inspections de l’Agriculture) situées dans l’aire du Projet.Questions #42. Il est demandé au consultant d'établir le débit de crue. Or pour le faire, on a besoin des données pluviométriques en particulier les courbes IDF (Intensités-Durées-fréquences) des pluies. L'UNOPS fournira t-il ces données sur la pluviométrie? Puisqu'en 60 jours on ne peut pas les avoir pour justifier un calcul de débit de crue.Réponses #4 de l'unoPS : (Confère la réponse précédente)

New clarification added: Questions : Dans la présentation des dalots à étudier, en plus des observations et de localisation des ouvrages, il y a déjà les dimensions des ouvrages projetés. D'où viennent ces dimensions que nous sommes justement supposés fournir à l'issue de nos études? A quoi serviront alors nos analyses, en particulier le calucl de la section hydraulique favorable, si on connait déjà les dimensions des ouvrages?Réponses de l'UNOPS :Les dimensions projetés sont issues d’une étude technique préliminaire effectuée en interne dans le but de cadrer dès le départ les études techniques approfondie à effectuer par le consultant. il s’agit des propositions qui peuvent ou pas être confirmer au terme des études hydrologiques. Les analyses du consultants sont déterminants pour  lever l’option à prendre par rapport à la proposition UNOPS. Les dimensions proposées peuvent être remodelé sur base d’un justificatif obtenu à l’issu des études techniques approfondie.Si tout est ouvert , le consultant a tendance de faire des proposition parfois irréaliste au regard du contexte de la région car sa mission est très limité dans le temps , par contre les propositions UNOPS sont faites sur base d’une observation effectué dans le temps et une expérience avérée sur les ouvrages de la région mais ne sont pas soutenues par un justificatif scientifique patinant.Questions :Aussi les dimensions des ouvrages projetés sont inférieures aux ouvrages existants et çà ne nous semble pas vraisemblable. A titre d'exemple, au PK 9+350, la colonne "obesrvation" indique "buse éxistante en armico de diamètre 1,50 m". Cette buse offre une section droite de 1,77 m² alors que l'ouvrage projeté dalot 100x100x600 n'offre qu'une section de 1 m² inférieure à la section de la buse. C'est pourquoi nous demandons encore sur quelles bases avez vous donné les dimensions des ouvrages projetés ? Ces dimensions doivent obligatoirement être respectés?Réponses de l'UNOPS :C’est difficile d’apporter un jugement de valeur dans ce sens sans cerner le contexte de cette proposition : tenez, la plupart des ouvrages sont situés sur les diguées généralement étalées où sont positionnés plusieurs ouvrages qui jouent le rôle d’aérer davantage la digue. La plus part des buses existants sont complétement dégradées et n’ont pas été forcement mises en place sur base d’une étude hydraulique. Le consultant devra confronter la proposition UNOPS en fonction de la réalité sur le site. Il s’agira  dans la plupart des cas des ouvrage de renforcement de l’assainissement des digue à positionner sur le site et permettant également le meilleur raccordement possible avec la route. 

New clarification added: Questions:Dans les résultats attendus vous faites mention de réduction du nombre d'ouvrage. L'UNOPS s'attend à une réduction de quelle proportion? Nous avons identifiés 70 ouvrages et un pont de faible portée (20 mètres.) L'UNOPS espère réduire à combien? sachant que plus on regroupe plusieurs ouvrages (sous réserves que les conditions le permettent encore), l'ouvrage qui remplace deviendra important en taille.Réponses de l'UNOPS :Ces cas sont généralement visibles sur les digues qui n’ont pas connues un entretien régulier d’où la configuration des points de rupture d’aération de la digue peuvent être évolutive dans le temps. Ainsi au vue d’une situation réelle sur terrain on peut être appeler à proposer un seul ouvrage sur un point en remplacement des plusieurs petits ouvrages successifs. Ce pourcentage n’est peut être définie à priori  sans une connaissance exacte du terrain par un levé topographique de la situation sur une digue. L’UNOPS  se propose de procéder à l’accompagnement du consultant par ses experts afin de lever les options définitives de commun accord avec le consultant. Il s’agit des points singuliers qui se trouvent sur cet axe routier spécialement sur les digues.

New clarification added: Questions : Les TDR demandent au consultant de réaliser une étude topographique du site sans délimiter précisement la zone à lever. Quelle zone doit on lever par rapport à l'ouvrage? En effet, pour les études hydrauliques on a besoin de connaître le bassin versant en vue de déterminer le débit puis la section hydraulique favorable pour reprendre ce débit. Il peut donc avoir nécéssité de lever une zone beaucoup plus grande que l'emprise de l'ouvrage. Pouvez vous nous préciser par rapport à l'ouvrage l'étendue de la zone à traiter pour les lévés topographiques? Aussi à quoi servira cette étude quand les dimensions de l'ouvrage projeté sont déjà imposées???Réponses de l'UNOPS :La délimitation de ces levés ne peut pas se faire systématiquement au départ partant du principe de l’unicité de chaque site en terme de configuration. Seule la configuration du site immédiatement intéressée par le positionnement de l’ouvrage qui assure sa fonctionnalité sur le plan hydraulique et qui assure également le meilleur raccordement à la route est déterminant pour cette limitation. C’est sur terrain qu’il faut voir cette délimitation.La seconde partie de la préoccupation a été largement explicité aux réponses précédentes  

New clarification added: Questions : Dans la partie résultat 1/ études topographiquesles TDR disent "Ce profil en long devra également montrer les cotes d’implantation de l’ouvrage à construire ainsi que les cotes hydrologiques (Hautes eaux exceptionnelles, Hautes eaux et Basses eaux)". Comment un levé topographique peut donner les cotes hydrologiques????????? Comment dans un lévé peut on mesurer à la fois le niveau des hautes eaux et des basses eaux alors que ces niveaux ne peuvent jamais survenir au même moment??? Les cotes hydrologiques résultent plutôt des observations des niveaux d'eau sur des périodes annuelles pour avoir la vraiation des niveaux selon les saisons climatiques. A défaut d'une base des données ou des informations des autochtones, un lévé topographique ne donnera jamais les niveaux des hautes/basses eaux.Réponses de l'UNOPS :Nous parlons de cette situation dans la présentation des plans topo ( vue en plan topo et profil en long) ; l’ouvrage devra  être insérer dans cette présentation avec ces différentes cotes des PHE et  des PBE . Nous ne disons pas que les cotes hydrologiques sont obtenues à l’aide d’une études Topo……nous insistons et disons que dans la présentation des plans topographiques , les information sur les côtes hydrologiques y sont insérer avec une coupe de l’ouvrage ( profil en long). Si doute persiste , nous pouvons toujours rendre disponible au consultant un modèle de ce genre de présentation qui est une des recommandations de Design Review (du reviseur).

New clarification added: Questions :Résultat 1/ études hydrologiquesLes TDR disent "Le consultant fera un examen hydrologique pour l'ensemble du site. Pour les dalots et les ponts de petite et moyenne portée, il fera des observations sur le site en vue de relever les données hydrologiques (Hautes eaux exceptionnelles, Hautes eaux et Basses eaux) appuyées par des photos illustratives. Concernant les ponts à grande portée, Il fera des observations sur le terrain ainsi qu'une étude des bassins versants et Il déterminera les débits de crue du cours d’eau et leurs caractéristiques (vitesse de l’eau). Qu'entendez vous par "examen hydrologique"sachant que la mission est de 60 jours?? Comment en 60 jours on observera les hautes et basses eaux? Et si la mission a lieu en saison sèche, comment observer les hautes eaux? Comment établir le débit de crue sans informations sur la pluviométrie?????? l'UNOPS fournira til des statistiques sur plusieurs années de la pluviométrie dans la région?Réponses de l'UNOPS :Cette recommandation ne concerne que les ponts à grande portée qui ne sont pas repris pour ce TdR ; pour les petits ponts repris dans le TdR l’examen est à faire conformément à la recommandation reprise dans la question. Sur cet axe nous n’avons pas des ponts à grandes portées. La préoccupation du consultant est sans objet.